lundi 4 mai 2009

Vertrau mir...ich vergebe dir - prologue

Pour alléger ce blog, j'ai décidé de supprimer la fiction "Vertrau mir..." ici pour ne la laisser que sur un blog annexe, donc voici le lien.
Pour vous donner une idée de quoi il s'agit, je laisse dans cet article le prologue de la fan-fiction - si vous êtes intéressez par la suite, vous savez ce qu'il reste à faire.

Vertrau mir…ich vergebe dir



„Auf einer Brücke ziemlich hoch
Hält ein Mann die Arme auf
Da steht er nun und zögert noch
Die Menschen strömen gleich zuhauf“
Till Lindemann, „Spring“

PROLOGUE

Quatre avril 2010, environ 18 heures. Je suis sur les Champs Elysées. Et j’attends. Une centaine de fans piétinent sur place devant la FNAC. Des métalleux surtout. Avec leurs bottes cloutées, leurs hoodies à l’effigie du groupe et leur maquillage outrancier. Quelques lOlliegoths aussi. Les cheveux rouges ou violets. Et leur T-shirt avec la citation tirée d’une chanson du groupe. Le Haut Tank Top remporte haut la main. Ça doit être ironique tout ça, mais elles l’ignorent sûrement. Je n’aime pas les lOlliegoths, j’avoue.
La sécurité essaie de gérer les fans – ils trépignent tous d’impatience. C’est qu’ils ne s’y attendaient pas vraiment, les zigotos. Moi non plus, j’aurais eu du mal à y croire, franchement. La tournée a commencé l’automne dernier. Oui, le groupe avait respecté leurs délais. Et elle se déroulait plutôt bien. Les places s’étaient vendu comme des petits pains – bon, pas au point d’être sold out en moins de 6 heures dans chaque ville – on parle de Rammstein, là, pas de Metallica. Mais quand même ! Malgré le désastre de la vente des places allemandes (ou plutôt à cause de ce désastre), ils avaient réussi à afficher complet en moins d’une heure dans certaines villes européennes. De plus, les critiques étaient favorables, les fans parlaient de se refaire une date sur les forums. En Allemagne, leurs fans de toujours étaient au rendez-vous, créant un véritable chaos sur leur site officiel qui vendait les billets – dans le reste de l’Europe, de nouveaux fans se pointaient pour leur tout premier R+ concert. Tout le monde se disait qu’ils allaient enfin cartonner aux Etats-Unis. Surtout qu’ils avaient vu grand – la tournée devait durer deux ans et demi, passait par les Amériques, l’Asie et l’Océanie, et on parlait même de nouvelles dates en Europe pour l’automne après le concert à Tokyo. Bref ! Un succès plus qu’honorable pour les Teutons.
Et là, bam ! d’un coup, après le concert à Nantes, ils ont décidé d’annuler toutes les dates. Sans explication. Ou presque.
Newsletter du site : pour s’excuser de cette annulation, le groupe a décidé de faire une séance de dédicaces à Paris. Quelques jours après, c’est Paul Landers en personne qui a fourni de vagues explications. Il avait l’air fatigué, le pauvre. Comme s’il n’avait pas dormi depuis des jours. Des cernes encore plus prononcées sous les yeux, une mine plus que déplorable. On aurait presque dit qu’il avait passé les quelques minutes hors caméra à chialer. Et ça m’a surpris. Puis ça m’a fait mal. Enfin, ça m’a fait plaisir. Un plaisir quasi sadique de le voir souffrir à ma place. Un plaisir qui me rendait coupable et donc me faisait encore plus mal. Un plaisir que je ressens encore en observant les fans aujourd’hui, tous venus pour la même raison.
Je me tiens de l’autre côté de la rue des Champs Elysées, en face de la horde de fans qui attendent à l’entrée de la FNAC. Certains sont arrivés vers midi – alors que la conférence n’est annoncée qu’à 19 heures. Je sais, j’étais là, je les ai vus arriver en avance. Les passants n’avaient pas tilté. C’est vrai qu’ils ont un look plutôt normal, ceux-là. Puis vers 16 heures, le troupeau s’est agrandi. Et les passants ont commencé à se poser des questions. Une vieille mémé m’a même demandé si je connaissais ce groupe,
‘Les…heu…Rame-stène ? ça vous dit quéqu’chose à vous, car moi, je connais pas.’
Je me suis tournée vers elle. Elle a vu ma joue. Je lui ai souri. Elle a fait les yeux ronds.
‘Non. Pas vraiment.’
Elle s’est éloignée sans dire un mot. J’ai remis ma mèche de cheveux châtain, légèrement bouclés et surtout très abîmés devant mon visage. C’est devenu une habitude maintenant. J’ai remarqué que les gens n’aiment pas ce qui sort de l’ordinaire. Déjà qu’ils fixaient mon tatouage du regard avant (quand j’osais me mettre en débardeur) – alors une cicatrice sur la joue gauche !

Vous vous demandez sûrement ce que je fous là, à attendre dans la rue pendant des heures une séance de dédicaces à laquelle je ne veux pas assister. Le serveur du café d’à côté aussi, je suppose. A vrai dire, je n’en sais rien. Quand j’ai vu l’interview donnée par Paul sur YouTube, j’ai ressenti un profond malaise – alors que je m’étais promis : « Non, tu n’iras pas à cette séance de dédicace – ça ne t’apportera strictement rien – ça ne t’aidera pas non plus. »… J’avais ressenti le besoin d’aller voir Paul, de lui parler, de le rassurer – et ce besoin-là est toujours blotti dans mes entrailles, que je cache avec un livre apporté juste ‘au cas où’. C’est ce que j’ai dit à ma sœur aînée – la seule à être au courant de ce qui m’est arrivé à Nantes le 16 novembre dernier. Au cas où.
‘Au cas où tu arriverais à leur parler ?’
‘Oui. Peut-être. Je sais pas.’
‘Fais comme tu le sens. Je préfère encore que tu sortes plutôt que tu restes enfermée chez maman. C’est pas bon de rester cloîtrée comme ça, tu sais.’
‘Je sais.’
‘Et tu sais, je t’accompagnerais bien mais avec mes quatre gamins…’
‘T’inquiète pas. Je te le disais juste à toi pour te prévenir. Je vais dire à Mum que je vais à Toulouse pour du shopping et que je dors chez une copine.’
‘Ah d’accord.’
‘C’est juste pour que quelqu’un sache que je pars à Paris en fait. Au cas où…’
‘Je comprends. Fais bien attention à toi quand même. Y’a quelqu’un qui peut t’accompagner ?’
‘Oui, j’ai une amie là-bas.’ (Ce qui était faux.)
‘Sinon, tu peux toujours demander à Eric – il acceptera sûrement de te prendre à la gare et…’ (Eric était notre cousin – lui aussi avec deux bébés à charge.)
‘Non, non, ça ira.’
‘T’es sûre ?’
‘Certaine.’
Je suis donc venue quand même. Je m’en rends compte maintenant. Et je n’aime pas ça. On dirait que je passe des jours avec mon cerveau en mode off. Je ne me rends pas compte de ce que je fais. Je perds l’esprit et je pars dans mes pensées. Mais en même temps, j’achète un billet de train sur Internet, je marche jusqu’au métro parisien, je prends un ticket, je me traîne jusqu’aux Champs Elysées, et tout ça, sans réfléchir. Ou plutôt si ! En réfléchissant sur tout – je réfléchis trop, me dit souvent ma petite sœur. Elle a tellement raison.
Et non, je ne veux toujours pas traverser cette rue pour rejoindre le troupeau de fans. L’idée même m’en fait trembler les membres. D’ailleurs, vous allez rire, mais depuis le temps que je suis debout, je ne sens même plus mes genoux…
‘Hey !…Hé oh !!…Allô la Terre, ici la Lune !’
Je me retourne vers le mec qui me cause.
‘Salut !’
‘On se connaît ?’
‘Non, mais je vois que tu as le Messer là ! Toi aussi, tu es venue pour la séance de dédic’ ?’
‘Heu…plus ou moins…’
Je baisse les yeux sur mon édition paperback du livre de Till Lindemann – je ne savais même pas que je l’avais apporté, ça aussi – je suppose qu’il doit toujours y avoir mes poèmes dedans…
‘Wow ! Y’a un paquet de monde depuis tout à l’heure !
‘En effet.’
‘Viens, y’a pas de voiture là !’
Le type – un grand maigre avec un T-shirt Sehnsucht, la tête d’Ollie imprimée dessus – m’attrape le poignet et m’emmène de l’autre côté de la rue. Sur le coup, je ne réagis pas, puis je lui dis de me lâcher et je m’arrête au milieu de la route. L’autre me regarde bizarrement.
‘Qu’est-ce qui t’arrive ?’
Je contemple mes pieds, cherchant une excuse.
‘J’ai tordu ma cheville.’
‘Hey ! Fais gaffe ! y’a une voiture!’
Il se saisit de mon bras et me ramène sur le trottoir, à quelques mètres à peine de la FNAC. La voiture me frôle de peu.
‘Eh ben dis-donc ! Tu l’as échappé belle ! ça va ta cheville ?’
‘Oui.’
‘T’as quoi à la joue, là ?’
‘Rien.’
Je remets mes cheveux devant mes yeux.
‘Viens, j’ai un pote qui attend déjà dans la file. Pratique, hein ? Je suis allé chercher des sandwiches pendant qu’il poireautait pour moi. Au fait, moi, c’est Sébastien.’
Il s’arrête pour me présenter sa main. Je la regarde fixement puis la lui serre.
‘Et toi ?’
‘De quoi ?’
‘Ton petit nom ?’
‘Gabrielle, mais ne me drague pas – mon cœur est déjà pris pour cet homme. (Je montre le Messer.) S’il me congédie ce soir, tu auras peut-être droit à ta part.’
Sébastien éclate de rire.
‘Tu es une bien marrante toi !’
‘J’ai dit peut-être !’
‘OK, OK ! Tiens, v’là mon pote ! Hey ! Marc !’
‘Ah te voilà enfin! J’ai la dalle moi !’
‘Ouais, tiens – bouffe, gros porc ! Je te présente Gabrielle, une groupie de Till.’
‘Ah, salut !’
‘Salut.’
Les deux amis se bouffent leurs sandwiches. Je me rends compte que je n’ai rien mangé depuis ce matin dans le train. Mais je n’ai pas vraiment faim. Je n’ai plus vraiment envie de grand-chose depuis quelques mois, j’avoue. Les fans devant nous s’étaient retourné pour zyeuter ma cicatrice sur la joue – je l’ai à nouveau dissimulée en me recoiffant. Et là, je cherche désespérément une excuse pour m’enfuir, pour échapper à tous ces jeunes venus voir les mêmes vieux schnoks. Mais rien à faire : mon cerveau est en mode compote à nouveau. Je ne prends aucune initiative pour partir loin de tous ces jeunes, loin de tout ça, loin de tout ; et lorsque les portes de la FNAC s’ouvrent enfin, je me mets à avancer lentement comme les autres.
Quand Sébastien, Marc et moi passons enfin les portes, les chansons du nouvel album nous parviennent aux oreilles, accompagnées des murmures des autres fans qui se passent le mot sur comment Richou s’est habillé ou sur la nouvelle coupe de cheveux improbable de Schnei. Je n’y prête pas vraiment attention. Mon corps s’est dit : on va jouer les robots, avancer tranquillement dans la file, montrer le booklet aux membres du groupe, le livre à Till, puis repartir comme si de rien n’était. « Et si Paul te reconnaît, cocotte, tu fais quoi ? Ben, je sais pas trop. Je lui fais un sourire. Je lui dis que je vais bien. Que je ne suis pas morte. Qu’il ne m’est pas arrivé malheur non plus. Que je suis peut-être en pleine dépression, mais que ce n’est pas pathologique. Et si ça l’était, ben, y paraît que ça se soigne… » Un murmure m’interpelle. Une lOlliegoth à quelques mètres devant moi vient de dire que
‘Paul a une sale tête quand même !’
‘Bah ! il doit être malade,’ lui répond sa copine.
‘Ou alors, il a bouffé un truc qui est mal passé !’
Elles pouffent de rire.
‘En tout cas, j’aime pas son bonnet,’ relance l’autre.
‘Mouais…oh regarde ! Till parle à Paul là – il lui dit quelque chose à l’oreille…’
‘Je me demande ce qu’il lui dit…’
‘Sûrement un truc du genre : oh, regarde comme elle est bonne celle-là !’ les rembarre un métalleux au logo R+ tatoué sur le bras droit.
‘Pfff !’
Mes pensées se sont figées. Je ne pourrai pas soutenir la vue de Paul dans le même état que dans la vidéo. Sur le coup, je n’avais eu aucune émotion. YouTube me proposait déjà d’autres vidéos à regarder que je ne savais toujours pas comment réagir. Paul avait mis un bonnet pour cacher sa calvitie naissante et les racines grises de ses cheveux restants – il avait encore plus de rides que la fois où je l’avais vu à Nantes – il lançait un regard de chien battu. Puis, j’avais re-regardé la vidéo. Et je n’avais pas pu contrôler mes larmes. Non, je ne veux pas pleurer devant tous ces fans. Certains vont sûrement tout comprendre. Surtout si Paul fait un truc stupide du genre : se lever, faire le tour de la table et me prendre dans ses bras – comme il l’avait fait il y a quelques mois – dans ses tendres bras qui m’avaient tellement réconfortée… Non. Il faut qu’il reste impassible, sinon les autres vont me regarder bizarrement – me dévisager – chercher les traces de mon martyre sur mon corps meurtri – me brûler du regard comme le font les témoins d’une exécution publique. Mais voilà ! Si je me mets à pleurer, c’est sûr qu’il voudra me prendre dans ses bras. Ou il se lèvera et caressera ma joue du doigt comme il l’a fait avec le gamin à Moscou dans le Völkerball. Non. Pas ça. Pas ça… pas ça…
‘Chut ! Taisez-vous !’
Des murmures encore. Cette fois on réclame le silence.
‘Chuuut ! Fermez-là ! Il veut parler !’
‘Ben, pourquoi on lui donne pas un micro aussi !?’
‘Chuuut qu’on te dit !’
‘Excuse me… May I have your attention?’
Je baisse la tête.
‘Please… Listen to me. Sank you.’
Je sais que c’est Paul qui parle – il a un accent – et puis, c’est sa voix, aucun doute là-dessus – avant, je la confondais avec celle de Richard – mais Richard parle anglais avec un ton légèrement traînard, comme tous les New Yorkais.
‘You all know why zis conference was organized. I am looking for a girl. She has a tattoo on her chest. Very big tattoo. She must be here so if you see her… well, I hope she is here. I…She…She’s a short girl wiz…wiz brown hair and… Bitte komm her, wenn du da bist!’
Je me glisse derrière Sébastien. Et je garde la tête baissée. Marc chuchote à l’oreille de Sébastien :
‘Tu comprends ce qu’il dit toi ?’
‘Ouais, je crois qu’il dit qu’il cherche la fille dont il a parlé dans l’interview.’
‘Quelle interview ?’ demande un jeune goth à côté de nous.
‘L’interview qu’il a donnée y’a pas longtemps, où il dit qu’ils ont arrêté la tournée car Paul a été témoin d’un viol sur une fan mais que la fille s’est enfui sans aller à l’hosto ni porter plainte…’
C’était trop pour moi. Je me retourne et m’élance vers la sortie, bousculant les jeunes au passage. Je fais même tomber mon Messer, que je ramasse vite fait, mes poèmes s’en échappant – mais je n’ai pas le temps, je dois sortir, je ne peux plus respirer.
‘Putain ! Laissez-moi passer ! Laissez-moi sortir !!’

***

Je suis à la gare Austerlitz. Je ne sais plus à quelle heure est mon train. Peu importe. De toute façon, plus rien n’a vraiment d’importance. J’ai sprinté depuis la FNAC jusqu’au métro, ignorant les passant mécontents. Je me suis ensuite retrouvée à la gare, ma destination, mais sans savoir qu’y faire. Et j’ai laissé mes poèmes derrière moi. J’aurais dû les ramasser. Ça me fait mal de les avoir oubliés. Pas parce que je les ai perdus – j’ai toujours les fichiers sur mon ordi portable à la maison. Pas parce qu’un des fans risque sûrement de les lire. Parce que… Je ne sais pas trop pourquoi, en fait. Sûrement parce que j’aurais aimé les relire dans le train. Comme une autiste. Apprenant mes propres lignes par cœur car je connais déjà celles de Till. Tant pis ! Je lirais le Messer à la place. Encore une fois.


[modifié en mars 2010; la suite par ici!]

18 commentaires:

  1. très bon!!!!!

    continue c'est génial!!!!

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  2. AAAAh j'adore vraiment! La suite est là??? Je veux la suite! Fallait y penser, j'avoue, un viol sur une fan et Paul encore choqué des mois après... c'est touchant, il me tarde d'en savor plus. Pourquoi cette cicatrice à la joue? Une brûlure? Je veux savoir vite!

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  3. hé mais c'est pour quand la suite??

    j'ai comencé une fan-fic.. plus heureuse que la tienne par contre.. enfin pour l'instant. Voici l,addresse : www.ein-herz-das-brennt.skyrock.com

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  4. chapitre 4 de ma fan-fic posté ^^ hier... :)

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  5. C'est ultra touchant ce que tu as écrit là.. C'est surtout la réaction de Paul que me bouleverse. Chapeau bas l'artiste ;D


    PS : merci pour tes commentaires, ils m'ont vraiment fait plaisir sachant maintenant que tu étudies la littérature américaine. Merci (:
    Veux-tu que je te prévienne des suites ?

    Bisous ^_^

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  6. hé je t'écris ca ici.. j'ai plusieurs nouveau poèmes sur mon site.. comme je sais pas si t'es venue faire un tour depuis longtemps mais j'ai un poème sur lequel j'aimerais avoir ton opinion: http://xfeuerundwasser.wordpress.com/jalousie/

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  7. génial... moi aussi j'adore ca.. ^^

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  8. merci pour ton comment' très encourageant!!! :D

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  9. bon.. comme d'hab je met mes comment n'importe ou.. ^^ t'as pas de page principale mdr

    enfin.. les entrevues étaient vidéo?

    et passe faire un tour sur xfeuerundwasser.. j,ai 2 nouveau titres: "Mort" et " En réponse"

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  10. .. ouais ben parlant du forum.. t'inquiete pas j'ai l'habitude.. :P comme t'as surement vu j'ai l'impression d'etre sur planet rammstein, je sais pas si tu vois le genre... alors jy vais plus.. sauf peut-etre pour les topic photo et sur les membres de R+.. on déconne bien là!!

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  11. En Réponse parle d'un truc que j'ai vécut, pas très drole...

    j'ai aimé un de mes amis pendant quelques temps.. et il sortait avec une fille, je ne la connaissait que par ses écrits, mais on va à la même école... enfin.. un soir on a joué à des jeux vidéos en buvant Martini, Vodka etc.. puis finalement j'ai fait des trucs avec mon ami... elle ne l'a jamais su.. ils sont toujours ensemble... et ils s'aiment et ca se voit..

    enfin bref, j'ai essayer d'écrire sur ca, mais ca ne marchait pas.. alors je me suis "inventé" une peine... ca m'a fait mal de savoir qu'il l'avait trompé, et que je de vais la regarder avec lui tout les jours, en plus de prendre le bus avec eux et de leur parler.. pas de lui parler à lui, mais à elle...

    enfin bref.. maintenant j'ai tiré un trait sur ca, mais ca m'avait fait prendre un sale coup... ^^

    Pour Mort, je l'ai retrouvé comme brouillon dans les archives de mon site, mais c'est vrai qu'il peut etre considéré comme une réponse à ceux qui me dise : ex: t'as pas de talent etc.. mais je ne souviens plus du contexte dans lequel je l'ai écrit!!

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  12. bon.. chapitre 8 en ligne.. enfin je dois dire.. j'arêtais pas d'hésiter avec ce que je voulais faire.. mais finalement.. j'ai opté pour une option.. bref.. à toi de voir ^^

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  13. oui il m'amuse bien aussi le Snake!!

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  14. poème sur wordpress, j'ai essayer quelque chose de nouveau, cette fois ca vient du vécut tout cru: http://xfeuerundwasser.wordpress.com/par-le-sang/

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  15. d'abords je dois dire.. je suis EXTREMENT difficile à choquer..

    la scene du chap 2 m'a laissé sans voix - facon de parler - pluitot que choqué... je l'ai beaucoup aimé parce que justement c'était cru et très réaliste, ce qui est selon moi la meilleure qualité de ta fic!

    alors je crois que le dire a ta best friend c'est pas une mauvaise idée, si t'as besoin d'un deuxième avis, et c'est jamais mauvais de le faire !! :D

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  16. chapitre 11 en ligne.. il est plus long que le reste.. enfin j,ai eu comme un vague d'inspiration.. plusieurs autres chapitres sont à venir cette semaine.. ^^

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  17. Finaly a fan-fiction on rammstein that sounds good! (by the way, I can read french but I'm a pain at writing it, lol. And I saw you had stuff in english so I'm lucky!)

    I just wonder what the hell happened for her to be that way...

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Ich verstehe nicht - 15

  Chapitre XV – Un moulin à paroles               Dès le lendemain de son arrivée, je regrettai d’avoir accepté la compagnie de Paul. ...